Permanences Sociales

Les permanences sociales sont assurées quotidiennement, y compris le week-end, par téléphone (01 79 35 11 03), et le jeudi, de 15h00 à 18h00, de façon présentielle, en fonction des rendez-vous planifiés. Le numéro de la SCMP est accessible 24 heures sur 24 et les appels réacheminés vers la personne de garde.

Si nécessaire, les bénévoles se réunissent pour trouver une réponse aux situations les plus difficiles, échanger des informations et suivre les formations adéquates. Bien que les appels entrants ne puissent être comptabilisés avec précision, leur nombre dépasse les six cents par an.

Un certain nombre d’entre eux peuvent être résolus avec un simple renseignement. D’autres constituent des demandes réacheminées vers les services sociaux français compétents. Lorsqu’il s’agit de problèmes plus complexes, un rendez-vous est proposé pour la semaine suivante, au siège administratif de la Miséricorde, avec une des équipes de la permanence composée de deux bénévoles.

C’est en octobre 2012, peu après l’installation de la Miséricorde (Porte de Vanves, Paris 14^e), que furent instituées des permanences hebdomadaires avec prise de rendez-vous.

Les demandes d’aide sont assez diversifiées : recherche d’emploi, logement, aide alimentaire, soutien financier pour les fournitures scolaires, formation linguistique, loyer, transport, rédaction de CV, formulaires administratifs, traductions, visites à domicile, entre autres.

Nous recevons également des sollicitations d’aide juridique dans le cadre de menaces d’expulsion de logement, de constitution d’un dossier de retraite, mais aussi des demandes de suivi psychologique auprès de nos professionnels bénévoles ou de réacheminement vers des services spécialisés.

Les personnes concernées ont des âges et des profils diversifiés, notamment des couples ou des mères isolées avec des enfants mineurs et des sans-abris à qui la Miséricorde assure des nuits d’hôtel dans l’attente d’une solution plus adaptée. Parmi les demandeurs, on retrouve également de nouveaux émigrés qui arrivent sans un réseau de soutien familial ou d’amis, mais aussi des personnes qui se retrouvent en difficulté à la suite d’une séparation, d’un licenciement ou d’un décès, entre autres raisons.